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Synthèse vitamine D via alimentation et soleil

Vitamine D où se trouve : panorama des sources et repères essentiels

Table des matières

Les besoins en vitamine D varient beaucoup d’une personne à l’autre, tout comme nos modes de vie – et il n’est pas toujours evident de s’y retrouver entre soleil, alimentation et compléments. Pour un sportif désireux de progresser, un parent vigilant ou toute personne attentive à son bien-être, identifier où se cachent la vitamine D et savoir adapter ses habitudes semble utile pour éviter la carence et profiter d’un regain d’énergie au quotidien. Sans complexe ni recett toute faite, voici un éclairage accessible et solide sur les vraies sources, les facteurs de risque, et les ajustements pratiques à envisager en fonction de son profil. Une nutritionniste rappelait récemment qu’aucune situation n’est vraiment standard, d’où l’intérêt d’un regard sur-mesure pour chacun.

Où se trouve la vitamine D ? (la réponse rapide en entonnoir inversé)

Aliments riches en vitamine D assiette illustrée

On retrouve la vitamine D avant tout dans les poissons gras comme le saumon, le maquereau, la sardine ou encore le hareng, mais aussi dans l’huile de foie de morue, certains champignons, les œufs, et plusieurs produits laitiers ou végétaux enrichis. Pourtant, rien ne remplace vraiment l’exposition au soleil comme source naturelle, surtout en dehors de la saison hivernale. À titre d’exemple, une portion de 100 g de hareng fumé permet de couvrir entièrement l’apport journalier adulte recommandé (22 µg pour 15 µg/j), tandis que l’œuf ne fournit que 2 µg/100g. Selon les profils, il peut être judicieux d’envisager des aliments enrichis ou des suppléments, notamment durant l’hiver ou dans les situations à risque. Certains parents témoignent d’ailleurs de réelles difficultés à compenser par l’alimentation lorsque le soleil se fait discret.

Pour approfondir la question, comprendre les besoins selon chaque cas ou encore analyser les meilleures options végétariennes, il est possible de cibler la section qui correspond le mieux à sa situation ci-dessous.

Qu’est-ce que la vitamine D ?

Surnommée régulièrement la « vitamine du soleil », la vitamine D joue un rôle majeur pour fixer le calcium, maintenir les os solides, soutenir l’immunité et le bon fonctionnement musculaire. Elle existe essentiellement sous deux formes :

  • La vitamine D3 (cholécalciférol), d’origine animale ou produite naturellement dans la peau après exposition au soleil
  • La vitamine D2 (ergocalciférol), provenant notamment de certains végétaux tels que les champignons ou les levures

Une question revient régulièrement à l’officine – peut-on vraiment compter uniquement sur ce que l’on mange pour éviter d’être en déficit ? La réponse varie selon le mode de vie et les habitudes de chacun, et il arrive qu’une alimentation équilibrée suffise… ou pas.

D’après ANSES et Santé Canada, l’adulte devrait viser autour de 600 UI/j (15 µg/j), mais ce chiffre évolue avec l’âge ou certains états comme la grossesse. D’après une experte en nutrition, il arrive que même les personnes vigilant·e·s sous-estiment leurs besoins quand les saisons changent.

Sources alimentaires naturelles et enrichies

Un réflexe simple pour améliorer son apport : ajuster ce qui arrive dans l’assiette ! Les aliments les plus concentrés en vitamine D sont ceux qu’on oublie un peu le reste de l’année, hors fêtes ou occasions particulières.

Tableau des principaux aliments riches en vitamine D

Ci-dessous, quelques repères pour choisir les produits les plus intéressants :

Aliment Vitamine D (µg/100g) D2 ou D3 ?
Huile de foie de morue 250 D3
Hareng fumé 22 D3
Sardine 13 D3
Espadon 16,6 D3
Maquereau frit 12,3 D3
Truite 15 D3
Jaune d’œuf 2 D3
Champignons UV-exposés 10 à 15 D2
Lait enrichi 1 à 2 D3 ou D2

Si l’on prend le saumon frais, une portion de 100 g offre le plus souvent entre 7 et 16 µg selon la provenance. Les produits laitiers classiques (non enrichis) et bon nombre de végétaux ne présentent qu’une faible teneur, à l’exception notable des champignons exposés aux rayons UV. Est-ce pertinent de miser sur les champignons ? Oui, à condition qu’ils aient vu la lumière : certaines espèces, comme la girolle, plafonnent toutefois à 5 µg/100g.

Aliments enrichis et produits alternatifs

On croise de plus en plus de laits, boissons végétales, margarines ou céréales enrichis (1 à 2 µg par portion). Ces apports semblent modestes, mais un petit-déjeuner complet regroupant plusieurs de ces produits atteint vite 10 à 12 % des besoins journaliers recommandés. Il est toujours utile de bien lire les étiquettes !

  • On retrouve la vitamine D dans le lait enrichi, les yaourts, ainsi que dans certaines boissons végétales à base d’amande ou de soja
  • Quelques margarines et, parfois, certaines céréales prêtes à consommer se distinguent également par leur apport

Cela s’avère particulièrement précieux pour les enfants, les personnes âgées ou celles suivant une alimentation végane/végétarienne. Une formatrice rappelait récemment qu’analyser tous les produits consommés sur une semaine réserve dans certains cas des surprises.

Synthèse cutanée et exposition solaire

Exposition soleil production vitamine D corps

L’autre voie, parfois négligée ? C’est la synthèse cutanée sous l’effet du soleil. En France, il suffit selon les recommandations de 15 à 20 minutes par jour d’exposition estivale pour la majorité des adultes : ce principe vaut seulement pour la D3.

Comment le soleil transforme votre peau en « usine à vitamine D »

Dès que la peau reçoit des rayons UVB, elle produit de la D3 (cholécalciférol), réputée très active. La capacité de synthèse dépend :

  • De la région d’habitat (latitude et climat influent beaucoup)
  • De la couleur et de l’épaisseur de la peau, qui jouent sur la rapidité de synthèse
  • De l’âge, car une peau mature devient moins productive avec le temps

C’est aussi pourquoi il est recommandé de privilégier les moments où le soleil est doux, tôt le matin ou en fin de journée, en découvrant les bras et le visage pendant une quinzaine de minutes. On constate régulièrement que, l’hiver venu, 80 % de la population se retrouve en déficit. Qui n’a jamais eu l’impression de traverser l’hiver sans voir la lumière ? Cela explique toute l’utilité d’être attentif à ses ressources alimentaires ou complémentaires, surtout d’octobre à avril. Certains professionnels recommandent même un suivi rapproché durant cette période.

Besoin quotidien et profils à risque

Comprendre de quoi on a besoin, c’est déja un premier pas pour éviter la carence. Selon les recommandations officielles, les besoins varient généralement entre 400 et 800 UI/j selon l’âge ou certaines situations :

  • Chez l’adulte, la cible habituelle est 15 µg/j (600 UI)
  • Les enfants doivent viser autour de 10 µg/j
  • Au-delà de 70 ans, le seuil monte à 20 µg/j (800 UI)
  • Pour les femmes enceintes ou qui allaitent, une vigilance renforcée reste de mise

Les apports moyens sont encore faibles en France : autour de 3,1 µg/j pour les adultes et de 2,6 à 5,2 µg/j chez l’enfant (source : INCA3). Qui sont les personnes à suivre de près ? Notamment celles à mobilité réduite, au teint foncé, les seniors, femmes enceintes ou allaitantes, les bébés nourris exclusivement au sein, mais aussi ceux et celles qui suivent un régime végétal. Certains découvrent qu’ils sont exposés au risque après avoir éliminé le poisson gras de leur menu. Une diététicienne signale d’ailleurs que beaucoup de consultations commencent par un simple doute sur ces groupes spécifiques.

Se situer dans une catégorie à risque n’est pas toujours évident à première vue, mais si l’on sort peu ou qu’on a radicalement modifié son régime, mieux vaut garder un œil attentif sur son statut… Pour être sûr, cela reste judicieux de faire le point avec un professionnel.

Carence et surdosage : les prévenir

On estime à 80 % la part de Français carencés en hiver, et près de la moitié sur l’année (selon Inserm). Les signes à surveiller : fatigue continue, douleurs musculaires ou osseuses, vulnérabilité accrue aux infections.

Symptômes et risques individuels

Il arrive qu’un enfant ressente des douleurs de croissance ou qu’un adulte manque inexplicablement d’énergie durant plusieurs semaines… Parfois, le déficit en vitamine D est en cause. À l’inverse, un surdosage (hypercalcémie) résulte surtout de compléments utilisés sans contrôle : c’est aussi pourquoi il vaut mieux éviter l’accumulation de sources ou l’automédication prolongée sans l’avis d’un professionnel de santé.

  • La carence peut induire des troubles osseux (rachitisme chez l’enfant, ostéomalacie chez l’adulte), une baisse d’immunité ou des douleurs persistantes
  • À l’inverse, un excès (rare mais sérieux) peut déclencher des calcifications, des perturbations cardiaques, rénales, voire un état de grande fatigue

En pharmacie, on recommande souvent de ne jamais se lancer dans une cure de longue durée sans consulter au préalable. Un bilan sanguin, notamment en cas d’antécédents particuliers ou de grossesse, reste le passage indispensable avant tout supplément à dose élevée.

Vous vous questionnez sur la pertinence d’une supplémentation ? En pratique, l’avis du médecin (accompagné si besoin d’un dosage sanguin) demeure la meilleure démarche. Cela vaut tout particulièrement pour les profils fragiles ou en cas de doute.

Outils et guides pour optimiser son apport

Passer à l’action demande parfoix de s’appuyer sur des ressources concrètes. Aujourd’hui, il existe toute une palette d’outils : simulateurs, guides pratiques, accès facile à la fameuse table Ciqual (ANSES) pour ajuster plus finement sa routine d’apports – un vrai atout pour cibler chaque besoin.

Ressources pratiques à télécharger et FAQ

  • L’utilisation d’un simulateur personnalisé permettant d’adapter selon l’âge, l’alimentation ou la saison leur interêt
  • Des listes PDF ajustées par type de régime, qu’on soit omnivore, végétarien ou senior
  • Une série de FAQ pratiques selon divers moments de la vie (périodes sans soleil, grossesse, enfance)
  • Des liens directs vers les guides éprouvés de l’ANSES, de Santé Canada, de l’Inserm

Un conseil de pro : penser à organiser sa “semaine-type” – deux dîners à base de poissons gras, trois repas composés d’œufs ou de champignons, et un petit-déj à base de boisson enrichie. Cela permet de couvrir rapidement entre 70 et 80 % des besoins, sans prise de tête ni calculs laborieux. Plusieurs diététicien-ne-s recommandent cette organisation pour éviter les oublis et simplifier le quotidien.

Vos situations, demandes et questions spécifiques comptent : n’hésitez pas à explorer les outils disponibles ou à recueillir l’avis d’un nutritionniste pour individualiser chaque choix selon votre mode de vie. Plusieurs s’étonnent parfois, lors d’une première analyse, d’avoir sous-estimé certains apports cachés.

FAQ rapide contextualisée

  • Où la vitamine D est-elle la plus abondante ? Majoritairement dans les poissons gras, certaines huiles ou œufs, ainsi que les classiques alimentaires enrichis.
  • Un végétarien ou vegan peut-il couvrir totalement ses besoins ? Oui, s’il mise sur les champignons exposés aux UV, procède à quelques ajustements et/ou utilise des produits enrichis ou compléments ciblés.
  • Faut-il se supplémenter automatiquement ? Non : ce n’est pas systématique, mais il est fortement conseillé pour les bébés, personnes âgées, femmes enceintes ou peu exposés au soleil.
  • L’automédication présente-t-elle un danger ? Oui, le surdosage (hypercalcémie) peut provoquer des soucis cardiaques ou rénaux : pour toute prise dépassant 1000 UI/j, mieux vaut d’abord consulter son médecin.

Vous trouverez d’autres infographies, outils de suivi et guides pratiques à télécharger (ou la possibilité de recevoir directement le guide PDF complet) sur le site de l’ANSES.

Pour aller plus loin : recherches associées fréquentes

  • Aliments riches en vitamine D : les tableaux les plus à jour
  • Les poissons gras contenant le plus de vitamine D
  • Quelles espèces de champignons privilégier pour la vitamine D
  • Repérage des symptômes associés à une carence
  • Conseils sur le bon dosage quotidien de vitamine D
  • L’huile de foie de morue reste-t-elle incontournable ?
  • Comparaison : produits laitiers versus alternatives enrichies
  • Sources idéales de vitamine D pour les régimes végétariens
  • Combien de minutes de soleil sont vraiment utiles ?
  • Quels compléments choisir : naturels, synthétiques, sous quelles formes ?

Pour chaque thématique, on retrouve des ressources validées, des aides visuelles, et des outils d’auto-évaluation facilement consultables en ligne ou sur le site des autorités sanitaires.

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